Les plus beaux moments du Festival 2014 en images !

Modifié le vendredi 10 octobre 2014

L'abbatiale d'Ambronay, pour le concert d'ouverture vendredi 12 septembre

Amore Siciliano, concert d'ouverture. "Francesca Aspromonte, l'ange du festival d'Ambronay. Elle a ému le public de la soirée d'ouverture du festival en reprenant la Canzone di Cecilia en fin de concert."

Les scènes amateurs du Festival, en fanfare et en transats !

"Retour gagnant pour les apôtres de Charpentier, en formation quasi chambriste, dans une interprétation empreinte de raffinement et de limpidité, où les voix s’équilibrent parfaitement avec les instruments." Antonio Mafra, Le Progrès.

La sculpture florale d'une de nos bénévoles, Pauline Magdinier, dans l'écrin du cloître éclairé, la nuit

Le Festival d'Ambronay, c'est aussi les spectacles famille, tous les dimanches après-midi. Le Rêve d'Ariane par le Quatuor Alfama.

Itay Jedlin a dirigé Le Concert Étranger dans une version de la Passion selon saint Jean à deux chanteurs par voix. Sublime.

"Comme touchés par la grâce, les artistes ont offert plus d’une heure de ferveur, de tension dramatique, dans une interprétation à hauteur d’homme de ce monument de la musique sacrée." Antonio Mafra, Le Progrès.

Les Journées du Patrimoine dans le cadre du Festival : des visites toutes la journée !

Installations sonores et visuelles par le Collectif Le Matrice, dans la Tour des Archives dans le cadre des Journées du Patrimoine.

Que de monde avant les concerts !

Et que de monde à la sortie des concerts !

Beatus vir… (heureux l’homme qui…) a assisté au concert offert par les Ghislieri choir & consort. Rarement soirée aura spontanément déclenché un tel enthousiasme. Giulio Prandi n’aura pas en vain mouillé sa chemise, au sens propre comme au sens figuré. A

Grand succès pour les afters du samedis soir au bar du festival ! Ici, rencontre entre Keyvan Chemirani (percussions), Jean Rondeau (clavecin) et Thomas Dunford (théorbe)

Les Cris de Paris dirigés par Geoffroy Jourdain ont submergé l’abbatiale d’alliages sonores inouïs. Il est des instants qui laissent une empreinte indélébile. Ce concert fait partie de ces instants magiques, vécus comme en apnée. Antonio Mafra, Le Progrès